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Au programme de la journĂ©e, une balade dans le jardin botanique de Sydney. On chausse les baskets et c’est reparti pour quelques kilomĂštres Ă pieds.
Toutes nos journĂ©es commencent de la mĂȘme maniĂšre: par un petit cafĂ© que nous achetons sur la route et que nous buvons en marchant. Hier nous avons dĂ©couvert un Mr qui vend ses cafĂ©s juste devant la gare: ils sont trop bons et le Mr est adorable ! Nous en reprenons donc un au mĂȘme endroit đ
VoilĂ , nous avons notre cafĂ© et la journĂ©e peut commencer. Cinq minutes plus tard nous nous arrĂȘtons dĂ©jĂ . Nous venons de trouver un magasin avec pleiiiiin de gadgets et pleiiiiin de dĂ©guisements ! Vous imaginez la suite… đ
Nous y avons aussi trouvĂ© des souvenirs australiens qui nous ont laissĂ©s sans voix… đš
Pour ceux qui ne l’auraient pas compris, il s’agit de pattes de koalas pour se gratter le dos et de bourses de kangourous qui servent de dĂ©capsuleurs/briquet/porte-clefs… La connerie humaine n’a pas de limites ! đĄ
Bref, nous reprenons notre chemin et passons dans l’un des nombreux parcs de Sydney. Jeff essaye de faire copain avec un oiseau, mais quand celui-ci s’approche, ils se font aussi peur l’un que l’autre ! đ
Comme souvent en Australie, nous passons devant des arbres magnifiques et immenses. Des géants de la nature !
Puis notre route nous mĂšne devant la cathĂ©drale Sainte-Marie. Cette derniĂšre contraste beaucoup avec tous les buildings alentours, et ça n’est pas pour nous dĂ©plaire ! đ
Nous arrivons ensuite au Royal Botanic Garden.
Quel plaisir de se balader dans cet endroit verdoyant ! Nous avons l’impression d’ĂȘtre hors de la ville: nous retrouvons les grands espaces, le calme et le chant des oiseaux đ Nous dĂ©couvrons le bĂątiment De Calice, qui propose des expositions temporaires.
Celle du moment est sur les abeilles et l’importance de la polĂ©nisation.
Nous trouvons encore le moyen de faire les imbĂ©ciles: Jeff trouve un sceptre avec lequel il espĂšre rĂ©gner sur le monde… Rien que ça ! Quant Ă moi, je me transforme en abeille bzzz bzzz đđ
Nous retournons ensuite dans le jardin oĂč nous croisons tout un tas d’arbres et de fleurs tous plus beaux et originaux les uns que les autres. Parmi les nominĂ©s: l’arbre au tronc en peau de serpent, les fleurs poilues, et les cactus gĂ©ants đ
Nous nous laissons guider par les diffĂ©rents chemins du parc, qui nous mĂšnent finalement au bord de l’eau.
Nous longeons la promenade qui va jusqu’Ă l’OpĂ©ra House. C’est l’occasion de faire quelques photos de nous, sous tous les angles đ
Mais aussi des photos de Jeff. Il y a une petite surprise sur ces photos, Ă vous de la dĂ©couvrir đđđ
Alors ???!!! đ Bon allez, on aide ceux qui n’auraient rien vu : il s’agit de photos de Jeff prises Ă 10 ans d’intervalle !
Il y a 10 ans, je ne connaissais Jeff qu’en photo. Avec une bouille d’ange pareille, comment ne pas craquer đ Je dois reconnaĂźtre que je craque toujours autant aujourd’hui đ
AprĂšs cette photo souvenir, nous longeons la promenade et croisons un artiste qui peint une fresque de la baie.
Par contre sur sa peinture Ă lui, il n’y a pas d’Ă©noooorme paquebot dans la baie de Sydney…
Bateau immense, de la taille des immeubles… On ne voit que lui !
Nous reprenons la route du retour vers l’hĂŽtel. Nous croisons quelques jolis bĂątiments. Le second a particuliĂšrement attirĂ© notre attention Ă cause des nuages qui s’y reflĂštent.
J’espĂšre que vous avez remarquĂ© le drapeau Australien qui flotte en haut Ă gauche de la prĂ©cĂ©dente photo ??! Nous avons vraiment galĂ©rĂ© Ă avoir ce dernier dans la photo ! Oui parce que forcĂ©ment quand tu veux faire une photo pareille, le vent, qui a soufflĂ© toute la journĂ©e, ne souffle plus !!! Alors tu restes la tĂȘte en l’air, l’objectif Ă lâĆil, Ă attendre qu’il se passe quelque chose… đ Tu fais aussi des trucs chelou, comme souffler en espĂ©rant que c’est ça qui va faire que le drapeau ou que le vent se lĂšvent đ€Ł Bah oui, mais ‘faut bien tenter quelque chose…
AprĂšs bien 5 minutes Ă zyeuter ce drapeau et un bon mal de cou, on se remet en route. Nous nous arrĂȘtons dans un centre commercial car Jeff veut changer son tĂ©lĂ©phone… Oui parce qu’il a tellement d’applications que son tĂ©lĂ©phone est devenu lent. TrĂšs lent ! Pendant qu’il fait tous ses comparatifs moi je traĂźne. Je bloque sur ces gĂąteaux en forme de chien. Qui peut bien acheter un gĂąteau pareil ?! đ
Je m’achĂšte aussi un truc indispensable quand tu es dans un pays chaud: des chaussettes polaires ! đ Ouais je sais, c’est complĂštement dĂ©bile… Mais c’est en prĂ©vision du Canada. Et puis, tout le monde ne peut pas dire qu’il a des chaussettes polaires venues tout droit d’Australie, c’est trop le classe ! đ Par contre, Jeff s’est un peu moquĂ© de moi, surtout qu’elles sont Ă©normes et vont remplir mon sac.
Il fait bientĂŽt nuit et nous arrivons dans le parc situĂ© devant notre auberge. MalgrĂ© l’heure, il y a plein de monde sur les terrains de basket et de tennis.
Ici la vie des gens ne se rĂ©sume pas qu’Ă leur travail. Pour la plupart, la qualitĂ© de vie est ce qui prime et le travail est secondaire. Le monde du travail c’est adaptĂ© Ă cela, et beaucoup d’Australiens finissent de travailler vers 17h. Ils ont donc du temps pour eux, pour faire ce qu’ils aiment, et notamment du sport. Une façon de vivre qui, avec Jeff, nous plairait bien đ
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